Touléco revient sur le développement de Terra Hominis, spécialiste du financement participatif viticole, depuis 2009 avec l’adoption également de statut d’entreprise à mission, qui conforte la volonté de sauvegarde du patrimoine viticole français. 

Le financement participatif viticole : un engagement responsable et durable pour sauvegarder nos domaines viticoles et le vignoble français.

Extrait

« Cela a du sens car en France, plus d’un tiers des vignerons a plus de 55 ans. Les jeunes arrivent avec des formations de qualité mais les banques ne les suivent pas. Les gros rachètent les petits et les spécificités se perdent, souligne l’entrepreneur. Il y a un vrai intérêt dans la profession.»

[…]

« Nous avons une responsabilité sociale, poursuit Ludovic Aventin. Sauver un vignoble ou accompagner l’installation d’un jeune est une fierté. »

Pour finir, Terra Hominis montre sa volonté de se développer hors de l’Occitanie avec des projets en AOP Blaye – Côte de Bordeaux, en Cognac, Chinon et en Muscadet. 

Lire l’article complet ici 

Devenir entreprise à mission pour s’engager moralement auprès de nos 2100 associés.

Terra Hominis veut défendre au travers des projets qu’elle soutient, ce qui fait la force de notre viticulture : sa diversité. La structure a donc modifié son objet social pour rajouter une nouvelle raison d’être :

« Préserver ce qui fait la force de nos vignobles, la diversité de ses vignerons en créant du lien entre les amateurs de vin et les vignerons et ainsi dynamiser les territoires ruraux. »

Le but de Terra Hominis est de :

– Permettre à la nouvelle génération de vigneron, qui travaille dans le respect de l’environnement et qui n’a pas les moyens de financer l’acquisition du foncier ou bien d’assurer le paiement de fermage en numéraire, de s’installer ou se développer.
– Permettre également à des vignerons déjà installés mais en difficulté de trouver un nouveau levier financier pour continuer leur activité.

En gravant dans le marbre sa mission d’intérêt public, c’est pour Terra Hominis s’astreindre à une véritable obligation de résultat. En effet, son fondateur est pénalement responsable en cas de non-application de son objet social. L’entreprise espère que des contrôles seront mis en place pour en assurer la bonne application et éviter ainsi l’effet « greenwashing » de ce nouveau statut.
Plus globalement, les entreprises de demain ne peuvent plus se limiter à faire du profit, elles doivent également avoir un rôle, une conscience sociale et environnementale. La crise sanitaire que nous avons traversé n’a fait que renforcer ce constat.
La société à mission est l’entreprise de demain !

 

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