Terra Hominis : ils en parlent mieux que nous !
Chez Terra Hominis, chaque projet viticole est avant tout une aventure humaine. Grâce au financement participatif, des vignerons peuvent s’installer, s’agrandir ou sauver leur domaine, entourés d’associés venus partager bien plus que du vin.
Quand le vin devient une aventure humaine
Chez Terra Hominis, on aime dire que le vin est bien plus qu’un placement financier, et nous ne sommes pas les seuls à le penser !
L’histoire de Xavier Guntz est un parfait exemple de ce qu’est Terra Hominis. Ce jeune vigneron alsacien avait le souhait de reprendre le Domaine Schaeffer, dans lequel il travaillait depuis près de 10 ans, mais :
« Le temps presse : vorace, la coopérative Wolfberger, géant local, manifeste son intérêt. ».
— Le Pèlerin
Face à lui, beaucoup de sociétés ne voient dans la vigne qu’un avantage fiscal :
« Xavier Guntz attire surtout des sociétés cherchant à proposer à leurs clients l’acquisition de vignes pour bénéficier des exonérations fiscales qui les accompagnent. »
— Le Pèlerin
Heureusement, Laura Hauser, sa compagne, décide de tenter autre chose :
« J’y suis allée au culot. Je les ai appelés (Terra Hominis) en leur présentant Xavier et en leur disant que c’était l’occasion pour eux d’avoir un premier projet en Alsace. »
— Laura Hauser
Cette “structure pas comme les autres”, c’est Terra Hominis, basée dans l’Hérault et spécialisée dans le financement participatif de domaines viticoles « afin de faciliter l’installation de vignerons. »
Le projet prend forme rapidement.
« Il faut, rapidement, collecter 400 000 euros pour maintenir dans le domaine les parcelles déjà mises en vente. Forte de 55 projets menés dans 35 domaines différents, Terra Hominis réunit 146 associés, qui achètent chacun jusqu’à neuf parts de 2 130 euros. Leur dividende ? Pas en euros, mais en bouteilles : chaque année, ils reçoivent quelques caisses. »
— Le Pèlerin
Car chez Terra Hominis, la rentabilité n’est jamais la finalité première :
« La philosophie financière est accessoire dans le projet. Le vin est un prétexte à la relation humaine : on ne cherche pas des actionnaires, mais des hommes et des femmes. »
— Ludovic Aventin, fondateur de Terra Hominis
Chez nous, investir dans le vin, c’est un investissement plaisir. Il s’agit d’investir dans des histoires humaines, dans la préservation du terroir… et dans le plaisir de déguster un vin qui a un vrai visage derrière l’étiquette.
Terra Hominis : le financement participatif viticole, version humaine
Notre mission chez Terra Hominis ? Permettre à des vignerons de s’installer, de grandir ou de transmettre leur domaine. Tout cela, grâce au financement participatif viticole, via des groupements fonciers viticoles (GFV).
Comme l’explique Xavier :
« Je connaissais le principe du portage et, dans mes recherches, j’ai découvert Terra Hominis, structure spécialiste du financement participatif viticole. Le concept, sans but lucratif, m’a séduit et 140 associés, ayant chacun un bout de vigne, m’accompagnent aujourd’hui. C’est une belle histoire. »
Des co-propriétaires qui deviennent des acteurs
Être associé chez Terra Hominis, c’est vivre une aventure collective, recevoir ses dividendes en bouteilles, et surtout, contribuer à sauvegarder le patrimoine viticole français :
« C’est notre patrimoine et nous sommes fiers d’aider des jeunes à s’implanter. Il y a un côté humain, on s’attache à eux. »
— Mireille Bono, associée Terra Hominis, citée dans Le Pèlerin
Parce que la réalité est là :
« L’absence d’héritier pour une transmission familiale fait partie des principales causes de disparition de domaines viticoles en France (en moyenne trois chaque jour, selon le ministère de l’Agriculture). »
— Le Pèlerin
Merci Xavier, merci Le Pèlerin
Si l’histoire de Xavier est belle, elle est surtout l’une des 56 histoires que nous avons déjà écrites chez Terra Hominis. Et nous sommes heureux que Le Pèlerin ait pris le temps de raconter cette aventure.
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