Nouvel accord mets et vin aujourd’hui, la cuvée rosé du Domaine Obrière, vignoble développé grâce au financement participatif viticole et des brochettes. Régalez-vous !

Côté vin

Un 100% cinsault gouleyant, frais. Une belle acidité. Peu tannique. Tout en légèreté. Idéal pour l’apéro. Le vin qui accompagne les apéros et autres grillades estivales.

Culture : La parcelle de cinsault a été plantée en 1985 et est en conversion biologique. Toutes les parcelles sont cultivés en agro-foresterie (présence d’arbres fruitiers dans les vignes) et l’enherbement des vignes y est favorisé. Les sols ne sont pas labourés pour préserver sa biodiversité et ses richesses. Les traitements réalisés sur les vignes sont principalement à base de plantes, algues et huiles essentielles.

L’utilisation du soufre et du cuivre est limité et réfléchi en fonction des besoins de protection de la vigne. Les vendanges et la taille sont manuelles.

  • Récolte : Faibles rendements
  • Vinification : Levures indigènes. Vinification sans intrants. Vin non filtré ni collés. Sulfites <30mg/L.
  • Au nez : Fruits rouges frais. arômes amyliques.
  • A l’oeil : Rose foncé.
  • A la bouche : Belle fraîcheur, belle acidité en début de bouche. Belle longueur en bouche
  • Accords mets & vin : le copain de l’apéro et des grillades.

Côté plat

Accompagnez ce vin fruité et frais avec de bonnes brochettes de poulet, de canard ou de porc grillées au barbecue ou à la plancha. Un régal avec une bonne salade pour accompagner le tout !

L’histoire du Domaine Obrière développé avec Terra Hominis

Charles Mackay, 33 ans, franco-écossais, est diplômé en économie et développement durable. Sara Lombardi, 29 ans, italo-française, est diplômée en droit social. Des diplômes mais comme une envie de travailler de nos mains. Un retour à la Terre-Mère (la Pachamama, comme disent si bien les boliviens). De retour en France en 2014, après 2 ans passés en Bolivie à développer un projet rural dans l’Altiplano, Charles a décidé de devenir vigneron sur Béziers.  Il commence alors par passer un brevet professionnel viticulture à Pézenas, à multiplier les stages techniques (vendanges, vinification, taille) dans différents domaines pour appréhender le métier. Il devient ouvrier viticole à mi-temps pour un vigneron bio dans le village de Boujan-sur-Libron (34). En parallèle, il loue 2 hectares qu’il convertit en agriculture biologique et une cave. Ainsi, naît le Domaine Obrière (ouvrier, artisan en occitan) comme un clin d’oeil à sa situation.  Dans le même temps, il rencontre Sara, qui elle aussi, veut aller plus loin dans ses convictions écologiques. Quelques mois plus tard, elle décide de s’installer avec lui et de se reconvertir. Elle choisit d’approfondir sa technique de dégustation et ses connaissances en marketing/communication du vin. Ensemble, ils s’engagent dans la viticulture biologique et dans la production de vins natures. 

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